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Les médicaments à base de sémaglutide sont uniquement remboursés par la Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ) pour les diabète de type 2.
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Un faux organisme du nom de Parlons obésité (PO) a été crée par les compagnies pharmaceutiques. Il vient de lancer un « appel urgent à l’action ».
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Pour définir sa campagne d, PO a convié à plusieurs médecins, dont l’ancien ministre de la Santé Yves Bolduc, et des lobbyistes comme Pascal Mailhot, ancien conseiller de Francois Legault.
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Au-delà du débat médical, l’enjeu est financier. Le ministre Dubé est réticent à élargir l’accès à cause des coûts très élevés. Dans le cas de Wegovy et Ozempic, par exemple, le coût de est de 460$ par mois. Elle est, en principe, prescrite toute la vie.
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À la télévision, les campagnes de publicité pour influencer les citoyens sont omniprésentes. Les compagnies pharmaceutiques mettent désormais en vedette des acteurs et actrices québécois, comme celle qui joue le rôle de la chef des infirmières dans la populaire série Stat.
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Étant donné que la réglementation est plus sévère qu’aux États-Unis par exemple, le lien entre le médicament et la perte de poids n’est pas explicite dans les publicités. Pour Wegovy, on se contente d’associer la pilule à la joie
