Alors que la grève des contrôleurs SNCF bat son plein tout ce week-end de chassé-croisé de vacanciers, la droite a réclamé cette semaine une réforme pour mieux encadrer le droit de grève, certains craignant notamment un "chantage des syndicats avec l'exécutif" avant les JO.
La droite dans ce qu'elle a de plus beau. Je me réjouis déjà de la grève à venir pour protéger le droit de grève.
Didn't even know the man was on Ye's album. Might check. He probably washed him too.
Je vais demander à Sora de me générer un résumé des aventures de Sora et ses amis.
J'ai levé le pied aussi, je suis au chomdu donc je prends juste un carnet de 10 que je fais durer plus longtemps on dira.
Le débat de Raz/Cassandre et Pasdu/PositionRevue avant était aussi très intéressant parce qu'au final les différents arguments et points de vue s'entendent.
Gros fraudeur depuis plus de 10ans, je suis content de voir que j'ai appliqué instinctivement pas mal de techniques haha j'ai survolé le doc mais ça a l'air marrant.
On m'a montré un tweet qui disait que c'était un peu abusé d'avoir un président qui soûle sur la démographie alors que lui même ne peut pas participer au réarmement.
Ça tombe non stop depuis sa nomination, on espère qu'il y a d'autres épisode de prévue pour cette saison.
Enfin, dans quel esprit je vous écris tout ça ? Je ne veux pas d’un retour des « deux gauches irréconciliables ». Ce serait la certitude de la défaite, la voie ouverte au pire.
Car, oui, je vois se dessiner le tableau. Une partition même où chacun joue son solo, se tourne le dos : une gauche radicale qui fait tout pour effrayer, et un centre-gauche tout pour désespérer. Une gauche radicale qui n’assume pas sa nouvelle centralité, qui ne s’élargit pas, qui ne grandit pas. Un centre-gauche qui revient en arrière, qui revient sur les ruptures, nécessaires, avec le triptyque concurrence-croissance-mondialisation.
Je comprends ce qu'il veut dire et en même temps, encore combien de fois le "centre-gauche" va t'il devoir trahir la gauche radicale avant qu'elle comprenne que ces gens comme Glucksmann sont définitivement perdu, voir même n'ont jamais été présent ? C'est bien qu'il saisisse la perche lancée mais il faut l'utiliser pour le forcer à pencher de son bord.
L'avenir des enfants "reste encore par trop déterminé par le nom de famille, l'endroit où l'on est né, le milieu auquel on appartient", a regretté Emmanuel Macron, lui qui disait il y a sept ans vouloir combattre "l’assignation à résidence".
Entièrement d'accord Manu, il est grand temps que les fils de bourges se mêle beaucoup plus aux classes populaires et sortent de leurs quartiers doré. C'est bien qu'il pense la mixité sociale comme ça, c'est encourageant.
Samsung E900. Juste revoir l'image, nostalgie direct. Ma mère était tellement contre l'idée que j'ai un portable, j'ai du utiliser tout mes talents de diplomate.