TheFrirish

joined 1 year ago
[–] TheFrirish@jlai.lu 1 points 1 day ago

Je suis d'accord. Dans un sens le jeu devenait un rééel travail surtout quand on gère sa faction

[–] TheFrirish@jlai.lu 1 points 1 day ago (3 children)

J'ai adoré et à la fois detesté ce je jeu. J'ai mis 800 heures dessus, le vide, l'espace et l'aventure et surtout le GRIND.

Ça reste un jeu que je recommande juste parce que c'est vraiment celui qui montre, à mon sens, le mieux l'immensité de la et de l'univers.

[–] TheFrirish@jlai.lu 22 points 1 day ago

You reap what you sow Russia

[–] TheFrirish@jlai.lu 2 points 4 days ago

Happy cake day!

[–] TheFrirish@jlai.lu 27 points 6 days ago (2 children)

"Ai himself is known for smashing works as well. The exhibition’s curator Arturo Galansino noted that several works in the show document the destruction of a precious ceramic. The most famous of these is Dropping a Han Dynasty Urn (1995), a triptych of black-and-white photographs in which the artist holds and then drops a 2,000-year-old vessel. It is a commentary on China’s deliberate erasure of its cultural heritage."

Okay so this artist also destroys artifacts that are thousands of years old.

“The destruction that Ai Weiwei depicts in his works is a warning against the violence and injustice perpetrated by those in power,” he said. “[It] has nothing to do with this reckless and senseless act carried out by a habitual troublemaker seeking attention by damaging artists, works, monuments, and institutions.”

Imho there are other ways to prove that point.

However it is despicable that his artwork was destroyed by a trouble maker and the perpetrator should be dealt with accordingly.

[–] TheFrirish@jlai.lu 2 points 6 days ago

En vrai ça reste à voir je suis déjà allé au Sri Lanka j'ai des amis de là-bas et d'ailleurs j'y retourne bientôt.

La corruption est endémique notamment en politique. (se faire construire des routes pour ses propres véhicules faire rouler des beaux engins, etc...).

J'aborde avec un engouement TRÈS mesuré le résultat de cette élection mais j'espère sincèrement que la situation va s'améliorer pour eux.

[–] TheFrirish@jlai.lu 1 points 6 days ago

«Tout va bien ici.» et pouf !

 

Au Sri Lanka, Anura Kumara Dissanayaka, marxiste repenti, remporte l’élection présidentielle Le Monde avec AFP 7 - 8 minutes

Le chef de la coalition de gauche a été proclamé vainqueur de l’élection présidentielle, avec 42,3 % des suffrages, dimanche, devançant nettement le chef de l’opposition au Parlement Sajith Premadasa et le président sortant Ranil Wickremesinghe. Anura Kumara Dissanayake s’adresse à la presse alors qu’il se rend à la Commission électorale, au lendemain de l’élection présidentielle, à Colombo, au Sri Lanka, le 22 septembre 2024.

Admirateur de Che Guevara et de Fidel Castro, le chef de la coalition de gauche au Sri Lanka, Anura Kumara Dissanayaka, a été proclamé vainqueur de l’élection présidentielle, avec 42,3 % des suffrages, dimanche 22 septembre, au lendemain du scrutin. Il a nettement devancé le chef de l’opposition au Parlement Sajith Premadasa (centre droit), 57 ans, crédité de 32,7 % des voix, et le président sortant Ranil Wickremesinghe, 75 ans, avec 17,2 %.

Deux ans après la pire crise économique de l’histoire du Sri Lanka, Anura Kumara Dissanayaka, 55 ans, hérite d’un pays fragile et épuisé par la politique d’austérité brutale et impopulaire de son prédécesseur. « Le rêve que nous avons porté depuis des siècles s’est enfin concrétisé », s’est-il réjoui dimanche soir sur le réseau social X, ajoutant à l’adresse du peuple sri-lankais : « Ensemble nous nous tenons prêts pour réécrire l’histoire du Sri Lanka ». Il doit être officiellement investi lundi matin, selon la commission électorale.

Muet depuis l’annonce samedi soir des premières tendances qui le donnaient perdant, le président sortant, Ranil Wickremesinghe, a concédé dimanche soir sa défaite. « Avec beaucoup d’amour et de respect pour cette nation que je chéris, je remets son avenir entre les mains du nouveau président », a-t-il assuré dans une déclaration. L’entourage de Sajith Premadasa avait de son côté concédé sa défaite dès les résultats partiels, dimanche matin.

Avant même la confirmation de sa victoire, M. Dissanayaka a fait savoir dimanche qu’il ne « déchirerait » pas le plan d’aide de 2,9 milliards de dollars (2,6 milliards d’euros) signé en 2023 avec le FMI (Fonds monétaire international) après de longues tractations.

Le premier ministre indien, Narendra Modi, a assuré qu’il travaillerait « étroitement » avec Anura Kumara Dissanayaka. « J’ai hâte de travailler étroitement avec vous afin de renforcer davantage notre coopération aux multiples facettes pour le bien de nos peuples et de la région tout entière », a déclaré M. Modi sur X. Renoncement à la lutte armée

Tout au long de sa campagne « AKD », comme le surnomment ses troupes, a martelé un message de défiance des élites politiques « corrompues » du pays, à ses yeux coupables de sa faillite financière en 2022. Au fil des semaines, ce discours a convaincu un nombre croissant de Sri-Lankais.

« Pour la première fois au Sri Lanka, le pouvoir va passer des mains d’une poignée de familles privilégiées et corrompues à un gouvernement du peuple », a promis AKD dans son programme électoral. Une proclamation qui résume l’ambition de ce fils d’agriculteur, entièrement formé au Front de libération du peuple (JVP), le parti d’inspiration marxiste de M. Dissanayaka.

En 1971, le JVP avait déclenché dans l’île une première insurrection meurtrière contre le pouvoir, qui a été vite réprimée au prix de 20 000 victimes. Seize ans plus tard, le parti avait ensuite repris les armes à la suite d’une loi de décentralisation qui accordait des pouvoirs à la minorité tamoule de l’île.

Issu de la majorité cinghalaise, le camarade Dissanayaka se fait remarquer en prenant la tête des étudiants du JVP. Récemment, il a raconté avoir échappé, caché par un de ses professeurs, aux escadrons de la mort qui traquaient les responsables de la guérilla. Cette révolte s’achève en 1989, après avoir fait jusqu’à 60 000 morts selon certaines estimations. Lorsqu’il prend la tête du JVP en 2014, Anura Kumara Dissanayaka tire un trait sur le passé et renonce à la lutte armée. « Nous assurons au peuple du Sri Lanka que nous ne reprendrons jamais les armes », déclare-t-il. Converti à l’économie de marché

Pour marquer sa rupture avec le passé meurtrier de son mouvement et élargir sa base populaire, il forme alors une coalition avec d’autres partis de gauche, le Pouvoir national du peuple (NPP).

Lui-même s’est largement converti à l’économie de marché, notamment à l’idée de privatiser certaines entreprises publiques. Récemment encore, il a raillé une « campagne de diffamation » dirigée contre son parti « qui dit que nous allons tout nationaliser, même les vaches ».

Ses premiers pas électoraux sont modestes. Lors de la présidentielle de 2019, il ne récolte que 3 % des voix. Il ne fait guère mieux un an plus tard aux législatives, où le JVP n’obtient que trois sièges.

Mais depuis la crise financière catastrophique de 2022, « AKD » et sa coalition ont le vent en poupe. Même s’il ne s’implique pas directement dans les manifestations qui provoquent la chute du président Gotabaya Rajapaksa, son parti surfe sur la colère de la population, jusqu’à sa victoire à la présidentielle.

[–] TheFrirish@jlai.lu 1 points 1 week ago

This evil and brilliant.

[–] TheFrirish@jlai.lu 6 points 1 week ago

OP: *Posts an unpopular opinion on the unpopular community

Gets downvoted

[–] TheFrirish@jlai.lu 3 points 1 week ago

They're 80% dependent on google there is no choice. Mozilla's behaviour since they got the google deal was the begining of the end. I honestly believe that due to Mozilla's current leadership it would be best for open source developers to all refocus on the ladybird project. I don't have any affiliation to that project and I understand how huge of an undertaking it is to build a web engine from scratch but the gecko engine is polluted by the Mozilla's execs and by extension Google.

To make it clear Google controls Firefox by, in practice, owning an 80% share of Mozilla.

[–] TheFrirish@jlai.lu 15 points 1 week ago

Please ban them, I beg of you, please...

[–] TheFrirish@jlai.lu 6 points 1 week ago (3 children)

When I heard Trump calling her "Marxis-Leninist" I was like mate you don't even know the beginning of the beginning of even socialism.

 

SYDNEY, Sept 12 (Reuters) - Australia said it will fine internet platforms up to 5% of their global revenue for failing to prevent the spread of misinformation online, joining a worldwide push to rein in borderless tech giants but angering free speech advocates.

The government said it would make tech platforms set codes of conduct governing how they stop dangerous falsehoods spreading, to be approved by a regulator. The regulator would set its own standard if a platform failed to do so, then fine companies for non-compliance.

The legislation, to be introduced in parliament on Thursday, targets false content that hurts election integrity or public health, calls for denouncing a group or injuring a person, or risks disrupting key infrastructure or emergency services.

The bill is part of a wide-ranging regulatory crackdown by Australia, where leaders have complained that foreign-domiciled tech platforms are overriding the country's sovereignty, and comes ahead of a federal election due within a year.

Already Facebook owner Meta (META.O), opens new tab

has said it may block professional news content if it is forced to pay royalties, while X, formerly Twitter, has removed most content moderation since being bought by billionaire Elon Musk in 2022.

"Misinformation and disinformation pose a serious threat to the safety and wellbeing of Australians, as well as to our democracy, society and economy," said Communications Minister Michelle Rowland in a statement.

"Doing nothing and allowing this problem to fester is not an option."

An initial version of the bill was criticised in 2023 for giving the Australian Communications and Media Authority too much power to determine what constituted misinformation and disinformation, the term for intentionally spreading lies.

Rowland said the new bill specified the media regulator would not have power to force the takedown of individual pieces of content or user accounts. The new version of the bill protected professional news, artistic and religious content, while it did not protect government-authorised content.

Some four-fifths of Australians wanted the spread of misinformation addressed, the minister said, citing the Australian Media Literary Alliance.

Meta, which counts nearly nine in 10 Australians as Facebook users, declined to comment. Industry body DIGI, of which Meta is a member, said the new regime reinforced an anti-misinformation code it last updated in 2022, but many questions remained.

X was not immediately available for comment.

Opposition home affairs spokesman James Paterson said that while he had yet to examine the revised bill, "Australians' legitimately-held political beliefs should not be censored by either the government, or by foreign social media platforms".

The Australia Communications and Media Authority said it welcomed "legislation to provide it with a formal regulatory role to combat misinformation and disinformation on digital platforms".

 

Êtres errants de lemmy, je suis curieux de savoir quel est votre forfait mobile et comment vous évaluez votre expérience avec votre opérateur.

Pour ma part, je suis client chez Telecoop. Mon choix n'a pas été guidé principalement par les détails du forfait (bien que je commence à être frustré par le faible volume de données disponibles). Actuellement, mon abonnement est de 10€ par mois pour 100 Mo, avec un supplément de 2€ par Go. Comme je passe beaucoup de temps à l'étranger, j'en avais assez des opérateurs traditionnels qui ajoutent sans cesse des options supplémentaires, me forçant à surveiller constamment ma facture pour éviter les surcharges. Heureusement, avec le statut de société coopérative de Telecoop, je n'ai pas besoin de me préoccuper de modifications inattendues de mon forfait.

Je pense peut-être à changer de forfait ou même à passer à une formule prépayée, étant donné que ma consommation de données mobiles hors wifi est très faible.

Auriez-vous des recommandations à me faire ?

 

Je pense qu'il faut une compréhension nuancée qui privilégie la vie privée et la sécurité des utilisateurs tout en reconnaissant les réalités de la régulation financière et le besoin de modèles d'affaires durables.

Trouver l'équilibre entre la vie privée et la régulation : La priorité de Signal, c'est la confidentialité. En intégrant MobileCoin, l'objectif était d'étendre cette confidentialité aux transactions financières. Cependant, il est complexe de réaliser cela sans enfreindre les lois destinées à prévenir les crimes financiers. Les entreprises doivent naviguer à travers les régulations KYC (Know Your Customer) et AML (Anti-Money Laundering), qui requièrent souvent de collecter et vérifier des informations sur les utilisateurs, ce qui peut aller à l'encontre de l'objectif de la vie privée. MobileCoin essaie de concilier ces exigences en collaborant avec des partenaires qui effectuent les vérifications KYC et AML, dans le but de se conformer aux obligations légales tout en maintenant l'anonymat des utilisateurs au sein de l'application Signal.

Considérations techniques et éthiques : Mettre en place une solution de cryptomonnaie sécurisée et privée, mais suffisamment transparente pour ne pas faciliter involontairement des activités illégales, est un véritable défi technique. MobileCoin, par exemple, s'est concentré sur des technologies préservant la vie privée mais a été critiqué pour son manque de transparence concernant l'offre de ses jetons et le fonctionnement de son réseau. Répondre à ces préoccupations sans compromettre la vie privée des utilisateurs ou l'intégrité du service nécessite une planification minutieuse et des ajustements continus.

Confiance de la communauté et intégrité de la marque : Signal a bâti sa réputation en offrant une plateforme de messagerie sécurisée et privée. Introduire une fonction de monétisation comme un service de paiement en cryptomonnaie risque de décevoir certains utilisateurs si cela n'est pas perçu comme améliorant l'expérience utilisateur. Il est crucial de s'assurer que l'intégration est vue comme un enrichissement plutôt qu'une exploitation de l'expérience utilisateur. Une transparence concernant les objectifs du projet, ses opérations et ses motivations financières peut aider à maintenir la confiance des utilisateurs et à atténuer les inquiétudes quant à un éventuel mauvais usage.

Navigation entre les incitations financières : Il est essentiel d'expliquer les incitations financières derrière l'intégration d'un service de paiement en cryptomonnaie. Pour Signal, confronté à des pressions financières, MobileCoin offrait un potentiel de revenus à travers des frais de transaction ou d'autres stratégies de monétisations. Cependant, il est important de communiquer que la viabilité financière est nécessaire pour la durabilité de l'application et que de telles mesures sont prises en considération de la vie privée des utilisateurs et de la qualité du service.

Vigilance et adaptation continues : Prévenir le mauvais usage potentiel des paiements en cryptomonnaie nécessite une vigilance et une adaptation constantes. Signal et MobileCoin doivent continuellement mettre à jour leurs technologies et politiques en réponse aux menaces émergentes et aux changements réglementaire. S'engager avec les régulateurs, les forces de l'ordre et la communauté élargie fait partie de la gestion responsable d'un service qui intersecte à la fois la vie privée et les transactions financières.

Et vous ? Quel est votre avis sur le sujet ? Est-ce vraiment la peine de migrer vers Signal ou au final c'est la même chose qu'avec Messenger, Whatsapp, Telegram ?

 

The successor of Openboard, Heliboard finally comes out in 1.0 my favorite open source keyboard out there.

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Railcoop jette l'éponge (france3-regions.francetvinfo.fr)
 

Terminus pour Railcoop et "fin d'une belle aventure collective" : la liquidation judiciaire de la coopérative ferroviaire est inévitable.

La coopérative Railcoop, basée à Figeac dans le Lot, va certainement dire adieu à son rêve de relancer la ligne de train directe entre Bordeaux et Lyon. Dans un communiqué à ses sociétaires, elle annonce sa liquidation judiciaire comme inévitable.

Depuis l'été 2023, Railcoop n'a eu de cesse d'appeler à l'aide ses sociétaires et soutiens pour trouver du financement. "Pour 100 euros, tu peux acheter un train !" était devenu le slogan de la coopérative ferroviaire du Lot. Mais ce mercredi 27 mars 2024 sonne comme un coup d'arrêt. Dans un communiqué adressé à ses sociétaires, Railcoop  annonce sa liquidation judiciaire comme étant inévitable.

Le schéma prévu pour sortir du redressement judiciaire est désormais caduc. En l'état, le tribunal de commerce de Cahors ne devrait pas avoir d'autre choix que de prononcer, le 15 avril 2024, la liquidation de notre coopérative*", a indiqué Railcoop à ses sociétaires, ce mercredi 27 mars 2024.

Placée en redressement judiciaire à la mi-octobre, la coopérative disposait d'un délai de six mois pour trouver des capitaux et poursuivre son activité. Elle avait notamment prévu de céder deux rames stockées par une société spécialisée dans la restauration de matériels ferroviaires. Sauf que celle-ci "*nous réclamait 880.000 euros de frais de garage, en sus des 350.000 euros déjà payés pour la réalisation de l'audit des rames (qui n'a pas été terminé)", a affirmé Railcoop.

Le 21 mars dernier, le tribunal de commerce de Clermont-Ferrand a donné raison à l'entreprise en question. "Par cette décision, le tribunal nous empêche de procéder à la vente des deux rames (qui était signée), nous coupe toute source de financement de court terme, et nous fait porter une nouvelle dette insoutenable", indique Railcoop.

Cette décision de justice, qualifiée d'incompréhensible, scelle le sort de Railcoop, affirme encore la coopérative à ses sociétaires. Le message adressé se termine ainsi : "c'est avec le plus grand regret que nous vous adressons ce message, après des mois passés ensemble à se battre, pour éviter la fin de notre belle aventure collective."

Née en 2019, Railcoop s'était fixé comme objectif de lancer une liaison ferroviaire transversale entre Bordeaux et Lyon via Périgueux, Limoges, Montluçon et Roanne. La coopérative rêvait de lancer son premier train citoyen initialement à l'été 2022. Mais son lancement avait été maintes fois repoussé.

En avril 2023, son activité de fret, déficitaire, entre Viviez-Decazeville (Aveyron) et Saint-Jory (Haute-Garonne). Les discussions avec des institutions régionales pour garantir des emprunts obligataires avaient tourné court.

Depuis son siège de Figeac dans le Lot, Railcoop voyait grand. La coopérative avait identifié plusieurs lignes en France pour développer son offre, comme celle reliant Toulouse à Saint-Brieuc. Terminus, le rêve tourne court.

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Opinion sur sync? (lemmy.world)
submitted 6 months ago* (last edited 6 months ago) by TheFrirish@jlai.lu to c/opensource@jlai.lu
 

Je vais peut-être en froisser plus d'un mais je suis assez perplexe face aux nombre d'utilisateurs qui utilisent sync alors qu'il existe des alternatives meilleures comme Connect ou Thunder (perso je suis sur voyager). Quelqu'un peu m'expliquer pourquoi encore tant de dévouér pour sync?

 

Ma quête pour privilégier uniquement les logiciels libres ressemble vraiment à une bataille difficile contre de grandes entreprises. Le logiciel libre incarne des principes tels que la transparence, la communauté et la liberté, mais le monde technologique est dominé par de grandes sociétés qui privilégient souvent les systèmes propriétaires. Cela peut certainement donner l'impression de mener une bataille difficile, surtout lorsque l'on cherche des alternatives libres qui correspondent à la commodité et à la fonctionnalité des options propriétaires dominantes.

L'un des plus grands défis est de trouver des logiciels libres qui peuvent remplacer de manière transparente chaque logiciel propriétaire que j'utilise, en particulier pour des tâches de niche ou hautement spécialisées. Heuresement la communauté du logiciel libre est dynamique et ne cesse de croître, avec des solutions et des systèmes de soutien qui évoluent au fil du temps.

C'est également un chemin qui vient avec ses récompenses. Je contribue à une culture de partage et de collaboration (notamment openstreetmaps et organicmaps), j'ai l'opportunité d'apprendre et de modifier le logiciel que j'utilise, et je fais partie d'une communauté qui valorise la liberté de l'utilisateur et le contrôle sur le logiciel qu'ils utilisent.

Rappelez-vous, chaque contribution à l'écosystème du logiciel libre, peu importe combien elle peut sembler petite, aide à rendre la technologie plus accessible et personnalisable pour tous. Que ce soit en utilisant des logiciels libres, en signalant des bogues, en contribuant à la documentation ou en faisant des dons, chaque geste compte dans la lutte contre la dominance du logiciel propriétaire, géré par des entreprises. Comment a été votre expérience jusqu'à présent dans cette quête et quels sont vos projets favoris ?

 

Alors que les Français vivent de plus en plus âgés, et avec des pathologies multiples, seul un tiers des malades qui en auraient besoin a accès aux soins palliatifs.

Emmanuel Macron a finalement présenté son projet de loi sur l’aide à mourir, attendu depuis plusieurs mois. Dans un entretien publié, dimanche 10 mars, par Libération et La Croix, le chef de l’Etat détaille les modalités qui encadreront médicalement cette démarche. Le texte devrait être examiné le 27 mai par les députés.Les trois quarts de ces lits (5 566) sont situés au sein des services hospitaliers confrontés à la fin de vie. On les appelle les « lits identifiés de soins palliatifs » (LISP) ; ils sont situés dans des services hospitaliers d’oncologie, gériatrie, cardiologie, etc., dont l’activité n’est pas exclusivement liée aux soins palliatifs.

La présentation d’un autre volet du projet de loi, concernant « l’accompagnement », c’est-à-dire les soins palliatifs et la prise en charge de la douleur, initialement prévue en janvier, a été repoussée à la fin mars. En attendant la publication de cette stratégie décennale, assortie de crédits supplémentaires, une circulaire ministérielle visant à mieux structurer ces soins avait été publiée en juin 2023 par le ministère de la santé.Le chantier des soins palliatifs est urgent.

La France, confrontée à un vieillissement de sa population, n’est toujours « pas à la hauteur des enjeux », avait souligné la convention citoyenne sur la fin de vie. Seuls 30 % des patients qui en auraient besoin ont accès à des soins palliatifs en France, selon la Société française d’accompagnement et de soins palliatifs (SFAP). En cause : une répartition inégale des structures spécialisées sur le territoire, des soignants trop peu nombreux, et une culture palliative encore mal perçue au sein de la société et du corps médical.

Une offre étoffée au fil des années

L’offre en soins palliatifs a doublé au cours des vingt dernières années, notamment sous l’impulsion des plans nationaux lancés depuis 1999. A la fin de l’année 2021, on dénombrait 7 546 lits dévolus aux soins palliatifs à l’hôpital (11,1 lits pour 100 000 habitants), contre 4 012 lits en 2007.

Les trois quarts de ces lits (5 566) sont situés au sein des services hospitaliers confrontés à la fin de vie. On les appelle les « lits identifiés de soins palliatifs » (LISP) ; ils sont situés dans des services hospitaliers d’oncologie, gériatrie, cardiologie, etc., dont l’activité n’est pas exclusivement liée aux soins palliatifs.

Les autres lits sont rattachés à des « unités de soins palliatifs » (USP), des structures de référence qui accueillent les malades dont l’état de santé est complexe et nécessite une approche hospitalière spécialisée. Le nombre de ces structures spécialisées a quasiment doublé, lui aussi, entre 2006 et 2021.Enfin, le nombre d’« équipes mobiles de soins palliatifs » (EMSP) a augmenté de 20 % en vingt ans, passant de 350 en 2007 à 420 en 2021.

Réunissant différentes catégories de professionnels (médecin, infirmier, psychologue, etc.), elles épaulent les équipes soignantes d’un ou plusieurs établissements, pour proposer un accompagnement du patient en fin de vie. Elles peuvent également se déplacer à domicile, à son chevet.

Des disparités territoriales persistantes

Si la situation s’est améliorée depuis le début des années 2000, « l’élan porté doit être nuancé », soulignait en 2021 un rapport du Sénat, qui faisait écho aux conclusions de l’inspection générale des affaires sociales. Cette dernière notait en effet en 2019 « un essoufflement de la dynamique des quatre premiers plans et la permanence de nombreuses questions de fond complexes, liées notamment à l’environnement du système de santé ». Et de constater qu’il n’existe « toujours pas un maillage territorial juste et équitable ».

L’offre en soins palliatifs souffre en effet d’une répartition inégale en France. Si la majorité des départements disposent d’unités spécialisées dans la prise en charge palliative, vingt et un d’entre eux (Ardennes, Cher, Corrèze, Creuse, Eure-et-Loir, Gers, Indre, Jura, Lot, Lozère, Haute-Marne, Mayenne, Meuse, Orne, Pyrénées-Orientales, Haute-Saône, Sarthe, Tarn-et-Garonne, Vosges, Guyane, Mayotte) en sont encore dépourvus.

« C’est largement insuffisant », regrette Ségolène Perruchio, cheffe de service de soins palliatifs du centre hospitalier Rives-de-Seine à Puteaux (Hauts-de-Seine). « Si vous êtes en fin de vie, ni vous ni vos proches ne peuvent se permettre de faire trois heures de route pour aller à l’unité du département d’à côté », souligne la docteure Perruchio. Cette absence de structures de pointe est d’autant plus préjudiciable que, parmi les départements dépourvus, des territoires comme le Cher, l’Indre ou l’Eure-et-Loir sont affectés par la désertification médicale.

La répartition des lits identifiés en soins palliatifs au sein des services des hôpitaux (les LISP) est également inégale. En moyenne, la France est dotée de 8,2 lits pour 100 000 habitants. Mais vingt-sept départements disposent seulement de 6,5 lits en moyenne. Les territoires ultramarins, comme la Martinique, La Réunion, ou la Guyane, font partie des plus mal lotis, avec deux fois moins de lits encore (moins de 3,5 pour 100 000 habitants), tandis que Mayotte n’en possède aucun.

 

Bonjour tout le monde,

Je souhaite partager mon opinion à propos de la situation actuelle de notre fédération aux autres instances. Je suis d'accord avec la décision de ne plus être fédérés avec les instances pornographique (on évite pas mal d'incidents en publics comme ça).

Le plus important c'est que l'on soit fédérés à toutes les autres instances. J'adore le fait qu'on soit capable de voir des posts de beehaw.org et que l'on puisse échanger avec eux. J'adore pouvoir voir les posts de scènes de ménages entre lemmy.ml et lemmy.world. j'éspère que l'on va pouvoir continuer à observer tout ça depuis notre petite instance et j'invite tout le monde à être conscient sur des règles et des utilisateurs sur les instances sur lesquels ils postes de manière à éviter d'enfreindre certaines règles d'instances. Je ne parle pas de censures mais je fais juste un rappel. la situation actuelle de notre instance est plutôt bonne et j'éspère que l'on pourra la garder un maximum de temps dans cette situation.

 

Nearly 10 months after Iran’s so-called “morality police” disappeared from the streets during mass protests over the death in custody of Mahsa Amini, the Iranian police announced July 16 that they had resumed patrols targeting “immoral clothing.” Amateur videos and first-hand reports from our Observers in Iran indicate that the patrols had resumed in the days before the announcement. But with many Iranian women having gotten used to going out with their heads uncovered in recent months, it remains unclear whether the patrols will be able to stop them.

Amini, 22, was arrested by members of Iran’s Guidance Patrol on September 13, 2022 for allegedly not wearing a headscarf, and died three days later. Her death sparked months of mass protests that resulted in more than 500 deaths, thousands of injuries, and tens of thousands of demonstrators arrested.

Now the Iranian regime is cracking down.On July 16, Saeed Montazer Al-Mahdi, spokesman for the Iranian police, announced that the morality police would resume conducting morality patrols. “Following massive demand by several groups of people, and the urging of the president and the head of the judiciary to achieve a safer society and enforce family values, police patrols will, from today, alert persons wearing immoral clothing and, if they insist, report them to the courts.”

The protests, under the slogan “Woman, Life, Freedom,” led many Iranian women to refuse to wear the Islamic hijab in public, defying Iran’s mandatory hijab laws. Guidance Patrol units stopped patrolling, and Iran’s regular police had to focus on breaking up the protests, not enforcing hijab rules.

In this video posted on Twitter the man filming says the woman in black is an officer of Iran's Gasht-e-Ershad morality police making an arrest in the Gisha neighbourhood of north Tehran on July 15, 2023.

Many Iranians on social media report seeing police conducting morality patrols on the streets in recent days. They have posted images showing women with their heads uncovered being stopped by women in black chadors accompanied by uniformed male police officers. Police vehicles are visible in the images, along with unmarked white vans.

Most of the posts on social media report seeing the patrols merely order women to put on a headscarf, but there are also videos suggesting arrests are being made.

Montazer Al-Mahdi did not specifically mention the Guidance Patrol (known as Gasht-e-Ershad in Persian), and it was unclear whether the new patrols are being conducted by regular police or personnel from the religious police unit. Iran’s attorney general had announced in January that the Guidance Patrol was being disbanded, but it was denied by state media.

Iranian authorities have for months been using traffic-surveillance cameras to detect women drivers and passengers without hijabs, and using the vehicles’ licence plates to identify the women and summon them to court to pay fines.

“Young women aren’t afraid of arrest or fines”

Niusha [not her real name], an Iranian woman in Tehran who has refused to wear Islamic clothing in public places for more than a year, explains what is now happening on the streets of Iran:

“I go outside as I please, wearing a T-shirt and shorts. However, I have seen patrols of the morality police in several places in Tehran in the north and in the city centre, although I have not seen or heard of them arresting anyone yet.

I have seen their female officers in black chadors as usual. But now they are in white vans, whereas their vehicles used to be white and green [official colours of Iranian police vehicles].

On the other hand, I know many women who have been summoned to court. The Islamic Republic agents have reported them to the authorities for not wearing Islamic dress in public places and the women have been brought before a judge and are now waiting for their verdict.

The caption of this video posted on Twitter 17 July 2023 says it shows officers of Iran's morality police checking women for hijab violations in the western city of Kermanshah.

And the number of threatening text messages to women drivers in cars has increased. Traffic cameras are used to check whether the women in the car are wearing an Islamic hijab or not, and if not, they send a text message and fine the car owner, sometimes impounding the car for a while.

But middle-class families who have to go to work every day need their car, and some of them might fold. One of my friends, who has not once worn a headscarf in the last few months, put one in her car as a precaution.

”This video posted on Telegram shows Iranians in the city of Rasht protesting following the arrest of three women on 16 July 2023 for not wearing Islamic hijab on the street.

On July 17, media outlets close to the state claimed a judge in the Tehran province sentenced a woman to work in a morgue in Tehran for not wearing a headscarf in her car.

The Islamic Republic has once again set out to push back Iranian women with the help of police forces, but many political analysts call this latest act a shot in the Islamic Republic’s own knee.

For the extremists, enforcing Islamic hijab is the last bastion before the regime's collapse

Tara [not her real name] is a political analyst in Iran. She has been arrested several times for her criticism of the Islamic Republic. She is also one of the Iranian women refusing to comply with the Islamic dress code imposed by the mollahs in Tehran. She explains why, just two months before the anniversary of Mahsa Amini’s death and amid an unprecedented crumbling of legitimacy for the regime, the Islamic Republic is adding fuel to the fire after decades of economic, environmental, political, diplomatic and human rights crises.

“As far as I can tell, there is a struggle between different political factions in Iran. There are extremists, including Ahmad-Reza Radan, Iran's newly appointed police chief, who want to reintroduce the morality police. They have the upper hand. But there are other blocs who, for whatever reason – maybe fear of more mass protests – disagree. Some hardline websites such as Tasnim News and Javan [two media outlets close to Iran’s powerful Islamic Revolutionary Guard Corps, the IRGC] have denied the morality police are being redeployed, saying the amateur images showing such patrols are 'fake'.

For the extremists, enforcing Islamic hijab on the streets is critical, the last bastion before the regime's collapse. It’s a way of showing that the regime is still in control. That is why the hardliners have recently organised rallies by their supporters to protest the regime's lack of initiative to enforce Sharia law in public spaces.

We should not forget that we are approaching the anniversary of Mahsa Amini's death. Maybe they think that with such a strong presence on the streets they can stop people from marking this day in the coming weeks. But I think that will backfire on them in the end.”

 

I guess this has been said before but I want to reiterate it here.

The 3 button navigation is simpler, much faster than gestures and less prone to input errors than gessure navigation.

It's easier to use the phone one handed when using 3 buttons especially considering the size of phones nowadays.

The only real downside to the 3 button bar is the space it takes away from the screen. I can't deny you get better immersion due increased screen size and gestures being intuitive (for me at least.

With that said I understand that depending on the brand the feel of gestures and their quality can vary (like between a pixel phone and a xiaomi device), but in terms of efficiency (and maybe slightly improved battery life due to less animations) and simplicity the 3 button navigation is still miles ahead.

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