alex

joined 2 years ago
MODERATOR OF
[–] alex@jlai.lu 2 points 4 months ago

Je te crois sur parole :)

J'ai jamais acheté de pantalons chez eux, j'aurais dû dire que pour l'instant j'ai acheté boxers, chaussettes, et pulls (un hoodie et un hoodie à fermeture éclair).

Je suppose que tu préfèreras 1083 pour les jeans du coup !

[–] alex@jlai.lu 2 points 4 months ago (2 children)

Pas forcément high-end mais extrêmement quali, je ne jure que par Loom (https://loom.fr/) depuis 2-3 ans.

[–] alex@jlai.lu 10 points 4 months ago

J'essaie d'acheter local, à défaut national, à défaut européen, et si vraiment j'ai pas, alors ailleurs. Le boycott américain est donc à moitié en place mais c'est un simple effet secondaire :)

[–] alex@jlai.lu 2 points 4 months ago

Qu'est-ce que c'est plaisant à lire, Les Jours !

[–] alex@jlai.lu 3 points 4 months ago
[–] alex@jlai.lu 7 points 4 months ago (3 children)

Hier j'avais prévu de commencer ma semaine en douceur, bah non, on a passé la journée sur ça : https://jlai.lu/post/15486037

Je suis épuisé, et aussi heureux de voir les retours sur Reddit, jlailu, et dans France Culture & France Info ce matin. On continue à résister, toujours, même si des fois c'est bien crevant !

Je reposte ici le commentaire que j'ai fait sur Reddit à quelqu'un qui demandait ce qu'on peut faire.

Par ordre de facilité et d'importance décroissantes :

  1. Continuer à lire et citer Wikipédia
  2. Partager cette histoire pour que d'autres médias s'en emparent
  3. Continuer à contribuer à Wikipédia, ou s'y mettre
  4. Adhérer ou faire un don à wikimedia.fr qui a une ligne de soutien juridique qui chauffe à blanc depuis quelques années : au-delà des 12€ d'adhésion, avoir plus de membres, ça nous rend plus crédibles pour obtenir des dons et subventions. C'est éligible au reçu fiscal / crédit d'impôt.
  5. Donner a la fondation Wikimedia wikimedia.org pour l'aide juridique mondiale : ils sont responsables légaux du contenu de Wikipédia et se prennent donc des bonnes masses de procès aussi (surtout en ce moment : c'est des Américains). Ce n'est pas éligible au reçu fiscal / crédit d'impôt (et si vous êtes en France, je vous encourage à plutôt donner à Wikimédia France, de façon générale). -- Note : c'est ce don-là que vous faites quand vous cliquez sur la bannière de Wikipédia.

Bref, faudra que je fasse un article de blog un peu plus détaillé, mais là, je vais essayer de me reposer, et vu la semaine qui m'attend au boulot c'est pas gagné.

[–] alex@jlai.lu 1 points 5 months ago

the biathlon world championships!

[–] alex@jlai.lu 5 points 5 months ago

get well soon!

[–] alex@jlai.lu 5 points 5 months ago

Et si tu préfères plus récent, j'aime les romans de Pierre Lemaître :)

Enfin, si tu veux découvrir des trucs plus variés et que tu as une liseuse ou que tu n'as pas de problème à lire sur écran, n'hésite pas à aller fouiller Wikisource : https://fr.wikisource.org/wiki/Wikisource:Accueil

[–] alex@jlai.lu 9 points 5 months ago

Ah cool, ça faisait au moins une semaine que j'avais pas débarqué dans un thread sur Internet pour dire aux gens de lire du Zola !

[–] alex@jlai.lu 2 points 5 months ago (1 children)

J'aime beaucoup Loom (loom.fr), j'y achète tous mes boxers et chaussettes, c'est assez cher mais c'est en parfait état après plusieurs années à les porter très souvent. J'ai récemment acheté deux pulls (un à zipper et un hoodie) qui ont l'air super, on les verra à l'usage.

[–] alex@jlai.lu 1 points 5 months ago

For Western Europe, Loom is my favourite BIFL shop. Website is in French only: https://www.loom.fr/

Everything is made in France or Portugal from Western European fabrics. Their boxer briefs and their socks (cotton or wool) are amazing; I'm still waiting for them to make brassieres :D

 

Synopsis

When Nar’s non-Armenian boyfriend gets down on one knee and proposes to her in front of a room full of drunk San Francisco tech boys, she realizes it’s time to find someone who shares her idea of romance. Enter her mother: armed with plenty of mom-guilt and a spreadsheet of Facebook-stalked Armenian men, she convinces Nar to attend Explore Armenia, a month-long series of events in the city. But it’s not the mom-approved playboy doctor or wealthy engineer who catches her eye—it’s Erebuni, a woman as equally immersed in the witchy arts as she is in preserving Armenian identity. Suddenly, with Erebuni as her wingwoman, the events feel like far less of a chore, and much more of an adventure. Who knew cooking up kuftes together could be so . . . sexy? Erebuni helps Nar see the beauty of their shared culture and makes her feel understood in a way she never has before. But there’s one teeny problem: Nar’s not exactly out as bisexual. The clock is ticking on Nar’s double life—the closing event banquet is coming up, and her entire extended family will be there, along with Erebuni. Her worlds will inevitably collide, but Nar is determined to be brave, determined to claim her happiness: proudly Armenian, proudly bisexual, and proudly herself for the first time in her life.

My review

Bisexual romance!!

Bisexual romance is special. There’s your good old straight romance, also known as romance with no adjective in front of it. There’s your gay and lesbian romance, sometimes including a painful coming out, with recent examples including Rana Joon and the One and Only Now and The lesbiana’s guide to Catholic school. But bisexual romance? How do you make a character bisexual in the first place if they’re only going to have one romance, huh?

Easy − remind us that they’re bisexual. Remind us that they’re looking to date and don’t really care about the identity of who they’re dating. Make them break up with someone and make up with someone of another gender. Tell us. It’s fine, you know − showing bisexuality can be hard. Telling us « hey by the way, I’m dating you but I also like guys! » is great. And very well done in this novel, too − although there are painful outing and coming out stories because, well, it’s 2024 and queer novels still don’t allow their characters to just be happy.

And speaking of painful coming out stories: this one is based on identity. Like in the two books I quoted above, our narrator, Nar, is a second-generation American. Her Armenian identity is incredibly important in the novel: after breaking up with her very very white boyfriend, Nar allows her mother and auntie to rope her into Armenian-Armenian dating life and commits to trying to find the perfect boyfriend (or girlfriend, she adds silently) at one of the cultural events. Except, of course, 90% of the cultural events are about the genocide, which doesn’t make for great date material.

Nar’s first thought of « I’m so tired of everything being about the genocide » gets revisited several times throughout the novel, with our girl getting closer to her own culture and understanding that history doesn’t have to only be about grief. I love the way she reconciles with her heritage and starts feeling like a real part of « the community», and every single one of the sometimes complicated and painful steps that lead to that.

Also, the book is actually really good − I’m not just impressed with the theme, the romance was really nice and the characters were lovable or hateable or, in some cases, very much both.

 

Salut ! Je n’arrive pas à m’occuper d’Un genre à soi comme je le voudrais, donc j’aimerais donner le blog à quelqu’un qui voudra écrire dessus. Je couvrirai le coût de l’hébergement et du nom de domaine jusqu’au 1 avril 2025. Contactez-moi à contact@ungenreasoi.com si ça vous intéresse. (Les critères d’éligibilité c’est d’être trans et que je trouve que vous avez une vibe intéressante.)

Si personne ne le reprend, je le bougerai dans un sous-domaine d’alexsirac.com pour qu’il ne soit pas perdu (les archives queer, aussi petites soient-elles, c’est important), je l’archiverai dans Internet Archive, et je rapatrierai mes propres articles sur mon blog perso.

 

J'ai trouvé cette vidéo vraiment excellente.

 

Présentation officielle

De sa fenêtre, Salim regarde la mer, le mouvement des vagues, et enfin il se sent vivre. Ici, à Alger, le soleil brille mais le quotidien est gris. Pas de boulot. Pas de perspective ni d’espoir. Il n’y a que des mauvaises cigarettes, des mauvaises bières et des mauvaises nuits. C’est la désillusion, et Salim ne veut pas être un désillusionnaire de plus. Il va partir, prendre la mer et rejoindre l’Europe, pour y libérer son énergie et réaliser son envie d’avenir. Mais comment faire ?

Mon avis

Dans ce roman court, si court, trouvé au détour d’une critique sur le Bondy Blog, j’ai trouvé toute la douleur et toute la frustration de Salim, notre narrateur qui a vu venir et partir les espoirs du Hirak et décide de traverser la Méditerranée clandestinement.

S’ensuivent de plus en plus d’espoirs brisés, d’argent perdu, de passeurs véreux, de compagnons de route qui lui briseront le cœur ou la mâchoire, tout ça pour aller en Espagne puis en France, parce qu’il paraît qu’on y sera mieux, même sans papiers, même sans histoire.

Une boule d’angoisse naît dans ma gorge au début de ce livre et ne me lâche que quelques secondes de temps en temps, au détour d’une chanson, avant de me reprendre de toutes ses forces et de me ballotter dans ses creux et ses douleurs.

Excellent.

Sur mon blog: https://alexsirac.com/bruleurs/

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